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352 rivista di scienza

[[Categoria:Pagine che usano RigaIntestazione|Rivista di Scienza - Vol. I.djvu{{padleft:362|3|0]]ritenersi sufficientemente approssimata. Egli ne trae quindi una definizione positiva dell’ofelimità, nella quale tuttavia rimane in generale una funzione crescente arbitraria, così come accade p. es. nella Fisica per la misura delle temperature, finché non si faccia una scelta speciale del termometro.

A prescindere da tante altre cose interessanti che si trovano nel Manuale del Pareto, e nella Introduzione ad esso, vorremmo conchiudere questo breve cenno domandandoci a quali resultati concreti conduca l’applicazione delle Matematiche all’Economia, dappoiché abbiam visto che tale applicazione è posta ormai al riparo dalle obiezioni a priori.

Ma l’argomento non potrebbe essere trattato così di sfuggita, e noi preferiamo di lasciarlo da parte, anche perchè l’A. del Manuale ci ha dato affidamento di discuterne con ampiezza su queste colonne.

Paul Lacombe - La psychologie des individus et des sociétés chez Taine historien des littératures. Étude critique. I vol. in-8 de II-374 pages. Paris, Alcan 1905.

M. Lacombe était déjà l’auteur d’une Introduction à l’histoire littéraire, l’ouvrage le plus riche peut-être en idées neuves et fécondes, et d’ailleurs parfois contestables, qui ait paru en France sur la matière depuis la Littérature de Mme de Staël. Son nouveau livre, qui est, comme le précédent, l’oeuvre d’un historien devenu psychologue, plus que d’un philosophe ou d’un sociologue, n’apporte d’autre complément positif aux doctrines exposées dans le premier que quelques développements qui paraissent empruntés a M. Tarde sur le rôle social de l’invention et de l’imitation. Ce rôle nous parait avoir été exagéré. D’une part un grand homme, sauf peut-être en science, n’invente rien qui ne soit dans la pensée des hommes de son temps: sinon comment ceux-ci adopteraient-ils ses inventions? D’autre part on ne peut imiter d’autrui que ce que l’on comprend, ce que l’on porte déjà en soi-même: sinon, comment se déterminerait le choix des objets de l’imitation?

Ce livre se borne donc à passer au crible d’une critique minutieuse parfois jusqu’à la chicane les théories de Taine sur l’histoire, et les passages où Taine expose ces théories. Après la critique de M. Lacombe, des trois fameux facteurs: la race, le milieu, le moment, il ne reste plus rien du premier, et c’est sans doute peu; le second absorbe tout, c’est peut-être trop. Et ni Taine

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