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[[Categoria:Pagine che usano RigaIntestazione|Scientia - Vol. VII.djvu{{padleft:215|3|0]]centrifuge; ceux-ci suivent des chemins topographiquement différents, les uns par la racine dorsale, les autres par la racine ventrale sans se mêler. Le système nerveux est le siège d’un mouvement circulaire, continue, irréversible, constituant une condition générale d’organisation qui répond au sens du temps.
Revue philosophique. (Septembre 1909). — R. Hourticq, «Il n’y a pas de logique formelle». L’auteur soutient cette thèse moyennant l’examen des figures classiques du syllogisme et des principes de Stuart Mill. Il conclut que la logique formelle est une logique réelle et que ce serait une bonne méthode pédagogique de commencer l’exposition de la logique parla description des procédés par lesquels le savant calcule, observe, classifie, induit des lois.
[Nous acceptons la conclusion pédagogique de l’auteur, laquelle est vraiment recommandable, mais nous n’acceptons pas sa thèse philosophique. A l’état actuel des études sur la logique, il n’est plus permis de s’arrêter au syllogisme. Le développement récent de la critique mathématique a renouvelé dans plusieurs sens l’analyse des formes de la pensée logique. Il en est résulté, d’un côté, une logique mathématique symbolique ou formaliste, qui opère suivant des règles générales tout à fait indépendantes de la signification des symboles; d’autre côté, une analyse psychologique des opérations constituant le procédé logique et des lois qui y sont inhérentes, et cette analyse nous conduit, elle aussi, à une logique formelle (sinon formaliste) tout à fait indépendante du contenu des objets pensés.
Il en résulte spécialement que le principe du raisonnement déductif n’est point, ce que l’auteur pense lui-même, dans le principe d’identité (simple condition d’invariance des objets), mais dans les opérations associatives gouvernées par les axiomes].
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Physikalische Zeitschrift. (15 juin). — F. Kuntze, «Précurseurs de la théorie des électrons». L’A. se fondant sur des citations de l’«Atomistie» de 1862 et du «Weltleben» de 1881, expose comment Herrmann et Robert Grassmann ont élaboré dès ce temps-là les détails d’une théorie des électrons qui a quelques affinités avec les théories actuelles. Suivant la théorie des Grassmann les plus petites parcelles d’éther consistent en une couple de parcelles qui ont pour symbole + E et — E. Les couples se repoussent les unes les autres avec une intensité inverse au carré des distances. Lorsqu’on frotte du verre avec de la soie, la parcelle + E est