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dévelop. hist. des théories de la physique 299

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Et l’on comprend les cris de triomphe de nos modernes physiciens qui, dans ces dernières années, ont eu la chance de voir éclore plusieurs faits nouveaux. Et l’on s’explique le goût de la masse pour les théories physiques qui sont la caractéristique des problèmes nouvellement posés, des beaux problèmes pleins de gâchis, où les plus médiocres artisans trouvent à pêcher un mémoire. C’est plaisir de contempler leurs airs de dédain pour la science classique qui leur semble ébranlée. Je me permets de leur rappeler qu’on trouve encore profit à lire les œuvres d’Ampère et de Fresnel, tandis que personne ne s’avise de consulter ni le mémoire d’Œrsted, ni même les travaux d’Arago qui fut l’un des plus heureux découvreurs de faits nouveaux qu’on puisse citer.

Toulouse, Université.
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