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180 Sonetti del 1834

[[Categoria:Pagine che usano RigaIntestazione|Sonetti romaneschi III.djvu{{padleft:190|3|0]] pouvoir reproduire ce qu’il a observé avec une verve infa- ticable, et en faisant vibrer fortement la corde comique. M. Cassandre est un Moliére au petit pied, auquel il n’a peut-ê- tre manqué, pour arriver à la renommée, qu’un champ plus vaste, c’est-a-dire un grand théâtre avec de bons acteurs vivants, et un pays où la censure n’existe pas. Les Romains prétendent que depuis un an ou deux le bonhomme com- mence à vieillir, qu’on s’en aperçoit à un peu de radotage et à une certaine stérilité d’invention dans les canevas et le dialogue, qu’on ne lui aurait pas reprochès il y a quel- ques années. Nous n’avons pu juger du plus ou moins d’exa- ctitude de ces critiques; tout ce que nous savons, c’est que M. Cassandre nous a fait passer de fort agréables soirées.Fonte/commento: Sonetti romaneschi/Correzioni e Aggiunte      7 Così diconsi per celia gli stivali assai larghi in gamba.      8 Gambe.      9 Cappello di larga falda, in forma di sottocoppa rovesciata.      10 Allorchè una veste è molto invecchiata e indecente, si dice: “Attaccatela a un albero di fichi, per ispauracchio agli uccelli.„

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